Revue de presse française à la radio : mon top 3 de podcasts replay

Après mon top 3 de podcasts replay de revue de presse internationale, voici mon top 3 sur la revue de presse française. Vous n’avez pas le temps de lire la presse quotidiennement ? Vous n’avez pas non plus la possibilité de lire à la fois La Croix, L’Equipe, Marianne, Libération, L’humanité, Le Monde, Le Figaro, Les Echos, Le Point, L’Obs, Le Parisien, Sud-Ouest, Ouest-France, L’Opinion, Le Télégramme, Les Dernières Nouvelles d’Alsace (DNA), Nice Matin, La Provence, Le Progrès, La Marseillaise, Le Dauphiné Libéré, etc. ?

Les radios s’en chargent et en font un résumé que vous pouvez écouter tranquillement quand vous voulez, où vous voulez, sur le support que vous voulez et comme vous voulez !

Les revues de presse de France Inter, Radio France Internationale (RFI) et Radio Classique devraient répondre à vos attentes. Je vous dis pourquoi dans les lignes qui suivent.

1. La revue de presse de France Inter par Claude Askolovitch

Comment vous dire ? Claude Askolovitch est comme possédé par sa revue de presse. Quand je l’écoute tous les matins, j’ai comme l’impression d’entendre une histoire. Tel un conteur, il n’hésite pas à changer de ton, de voix et à se mettre dans la peau d’un personnage. Il arrive à m’arracher le sourire quand il chante voire crie afin de mieux expliciter son récit. Ce qui a le mérite de maintenir mon attention et de me tenir en haleine jusqu’à la fin de sa revue de presse. Il a l’art pour ! Bien lancé et relancé par Nicolas Demorand et Léa Salamé, le duo d’animateurs de la tranche 7-9h30 de la matinale de la radio la plus écoutée de France, Claude Askolovitch passe sans coup férir d’un sujet à un autre.

2. La revue de presse de Radio Classique par David Abiker

Tout comme Claude Askolovitch, David Abiker est aussi habité par sa revue de presse. Comme un chanteur d’opéra, il oscille entre le grave et l’aigue jusqu’à en perdre sa voix pour souvent montrer l’importance, la gravité ou l’absurdité d’un tel ou tel sujet de l’actualité de l’hexagone. Il se livre aussi des fois à des envolées lyriques comme un tribun en a le don. Ainsi, sa synthèse de la presse française peut parfois prendre les allures d’un éditorial politique parce qu’il ne se contente pas que de recenser ce qui fait la Une du 4^ème pouvoir français. Il ne se prive pas de donner son avis sur le sujet de son choix, ce qui pour moi donne une touche particulière à sa revue de presse.

3. La revue de presse française de Radio France Internationale (RFI) par Frédéric Couteau

RFI a été la première radio occidentale que j’ai eu l’occasion d’écouter. Jusqu’à une certaine période, elle était ma principale source d’information sur l’actualité africaine, française, européenne et mondiale. C’est donc fort logiquement que j’aime sa revue de presse française. Je sais, c’est subjectif ! Comme l’habitude est une seconde nature, je continue de l’écouter. J’aime aussi particulièrement la voix du journaliste qui a l’habitude de la faire. Je veux parler de Frédéric Couteau. Il a une belle voix également. Je dirai qu’il a tout simplement une voix radiophonique.

Lorsque l’actualité l’oblige, la revue de la presse française de ces radios peut aussi faire cas de sujets internationaux et citer des journaux comme le Wall Street Journal, le New York Times, Die Welt, Le Daily Telegraph, etc.